TOTALITARISME
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TOTALITARISME
En Grèce, la police ne s’en prend plus seulement aux “activistes”, elle frappe
sans distinction avocats, personnes âgées….
La tactique mise en place par le gouvernement semble être une “terreur
généralisée” afin d’effrayer non seulement les militants activistes,
mais la population en général.
Un avocat réputé, Gianni Vlachos, a été matraqué par la police, alors
qu’il se rendait à son bureau dans le quartier d’Exarchia. Il voulut
montrer ses papiers, mais les flics ne semblaient pas intéressés.
Seule la répression semblait les motiver.
Il semblerait que la police ait reçu des ordres pour faire peur aux
avocats selon un témoin sur Indymedia Athènes. Celui-ci raconte :
« J’étais à l’angle de Koral et Panipistimiou, lorsque j’ai entendu un
groupe de policiers qui discutaient entre eux. L’un d’entre eux disait
qu’il fallait arrêter les avocats et les accuser de “rébellion à
l’autorité”. »
La police grecque n’hésite plus à tirer leurs grenades fumigènes en
“tirs tendus”. Plusieurs témoignages parlent d’hommes et de femmes
victimes de blessures et de brûlures au visage suite aux tirs des
policiers.
Toute personne portant une caméra, journaliste ou simple citoyen, est
systématiquement frappé par la police. Avant hier, 6 mai, une personne
âgée fut matraquée par la police Place de la Constitution (aux
alentours du Parlement). Constitution que les condés n’ont
probablement jamais lu.
La pauvre dame, choquée, était en sang après l’agression gratuite des
forces du désordre
Deux centres sociaux d’Athènes ont été pris d’assaut par les flics,
frappant et blessant toutes les personnes présentes dans leurs locaux.
Ils ont détruit quelques drapeaux et quelques banderoles qui
traînaient puis se sont répandus dans les appartements et cafétéria du
quartier d’Exarcheia frappant sans motif ni distinction hommes ou
femmes.
Une militante du squat d’Exarcheia montre ses blessures après le
passage de la police.
La démocratie, en Grèce comme partout, n’est qu’un rideau de fumée. La
réalité c’est l’asservissement, la terreur, le sang, la torture, la
misère, la répression, la censure, le chômage, la faim et la mort.
Indymedia Athènes
http://www.fischer02003.over-blog.com/article-dernieres-nouvelles-d-athenes-50120532.html
Envoi de Santag.
sans distinction avocats, personnes âgées….
La tactique mise en place par le gouvernement semble être une “terreur
généralisée” afin d’effrayer non seulement les militants activistes,
mais la population en général.
Un avocat réputé, Gianni Vlachos, a été matraqué par la police, alors
qu’il se rendait à son bureau dans le quartier d’Exarchia. Il voulut
montrer ses papiers, mais les flics ne semblaient pas intéressés.
Seule la répression semblait les motiver.
Il semblerait que la police ait reçu des ordres pour faire peur aux
avocats selon un témoin sur Indymedia Athènes. Celui-ci raconte :
« J’étais à l’angle de Koral et Panipistimiou, lorsque j’ai entendu un
groupe de policiers qui discutaient entre eux. L’un d’entre eux disait
qu’il fallait arrêter les avocats et les accuser de “rébellion à
l’autorité”. »
La police grecque n’hésite plus à tirer leurs grenades fumigènes en
“tirs tendus”. Plusieurs témoignages parlent d’hommes et de femmes
victimes de blessures et de brûlures au visage suite aux tirs des
policiers.
Toute personne portant une caméra, journaliste ou simple citoyen, est
systématiquement frappé par la police. Avant hier, 6 mai, une personne
âgée fut matraquée par la police Place de la Constitution (aux
alentours du Parlement). Constitution que les condés n’ont
probablement jamais lu.
La pauvre dame, choquée, était en sang après l’agression gratuite des
forces du désordre
Deux centres sociaux d’Athènes ont été pris d’assaut par les flics,
frappant et blessant toutes les personnes présentes dans leurs locaux.
Ils ont détruit quelques drapeaux et quelques banderoles qui
traînaient puis se sont répandus dans les appartements et cafétéria du
quartier d’Exarcheia frappant sans motif ni distinction hommes ou
femmes.
Une militante du squat d’Exarcheia montre ses blessures après le
passage de la police.
La démocratie, en Grèce comme partout, n’est qu’un rideau de fumée. La
réalité c’est l’asservissement, la terreur, le sang, la torture, la
misère, la répression, la censure, le chômage, la faim et la mort.
Indymedia Athènes
http://www.fischer02003.over-blog.com/article-dernieres-nouvelles-d-athenes-50120532.html
Envoi de Santag.
Santag- Brigand
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